Ce fait est maintenant connu et non remis en question, on ne peut donc plus dire que les non-vax sont en cause de la transmission communautaire (surtout que les non-vax n'ont plus le droit d'aller dans les espaces publiques où le passeport est requis), il a donc fallu trouver une nouvelle astuce pour mettre le blâme sur le dos des non-vax.
Ce ne fut pas long que, dans la foulée de la hausse fulgurante des cas, les arguments se sont vite tournés vers le nombre d'hospitalisations (vu qu'il n'y avait plus d'autres indicateurs de la propagation dans la communauté). Ces données ayant été savamment orchestrées dans le but de manipuler l'opinion des gens :
Eh en fait, c'est très difficile de tirer des conclusions des données transmises à la population puisqu'il n'y a plus de recensement des cas (les tests PCR étant désormais réservés à certains lieux clé). On se fie donc sur le nombre de cas dans les hôpitaux, mais...
Les données de l'INSPQ ne séparent pas les "non-vaccinés" des vaccinés 1ière dose depuis < 14 jours, ce qui veut dire que les gens ayant eu des complications suite à leur vaccin sont INCLUS (je pense à ceux qui ont eu la Covid et se sont fait vacciner, ou ceux qui ont développé la maladie après avoir reçu leur première dose). Dans cette même ligne d'idées, selon le Professeur Raoult, 10% des infections aujourd'hui seraient des personnes qui viennent de recevoir une dose du vaccin:
Didier Raoult : "Il y a la même incidence tant parmi les non-vaccinés que parmi les vaccinés"
Source: StudioRadio
"L’élément déclencheur de cette réflexion a été la présentation de Jacques Fantini sur les anticorps facilitants. Et il y a une zone dont personne ne veut parler, ce sont les 15 jours ou les trois semaines après l’injection vaccinale, que ce soit la première dose, la deuxième ou la troisième. C’est une zone grise parce qu’on n’avait envisagé qu’une seule éventualité : que le vaccin était protecteur. En réalité, on ne déclare pas toutes les infections qui surviennent dans les 15 jours suivant l’injection. C’est là qu’il y en a le plus en réalité. Chez nous, 200 patients par jour se présentent. Et il y a la même incidence tant parmi les non-vaccinés que parmi les vaccinés. Les gens qui sont vaccinés sont aussi symptomatiques que les non-vaccinés, ils ont les mêmes charges virales. Mais ce qui est intéressant, c’est que parmi les vaccinés, 25-30% ont une injection depuis moins de trois semaines. Et parmi les gens que nous diagnostiquons, 10% sont des gens qui viennent d’avoir une injection."
Le nombre de cas reporté est celui des gens ayant reçu un diagnostique positif à Covid19, selon le Dr. Arruda le 5 janvier, il y aurait au moins 30 à 40% de ces "cas" qui seraient entrés à l'hôpital pour une autre raison (genre, se casser un bras en ski).
Si on se fie à la situation observée dans les CHSLD en ce moment, on peut clairement comprendre que les cas graves et les décès sont surtout localisés dans ces lieux. Selon un article sur le site de Radio-Canada du 10 janvier, on recensait qu'en trois jours, entre le 6 et le 9 janvier, le nombre de décès dans les centres d'hébergement et de soins de longue durée CHSLD attribuables à la vague actuelle est passé de 61 à 80. Ces gens ont tous 3 doses du vaccin!!!
Selon les données disponibles à ce jour, il est clair que les personnes ayant déjà contracté la maladie ne sont pas 100% protégés contre le variant Omicron, mais les double-vaccinés ne le sont pas plus. Une immunité naturelle conférerait à peu près le même genre de protection contre une réinfection, et une encore meilleure protection contre les cas d'hospitalisation.
Furthermore, a study conducted in Austria found that the frequency of hospitalisation due to a repeated infection was five per 14 840 (0·03%) people and the frequency of death due to a repeated infection was one per 14 840 (0·01%) people.4
The Lancet